Drapeau indonésien
Drapeau de Bali
Bali est une destination de vacances qui fait unanimement rêver, mais il y a plusieurs Bali : le Bali du clubbing et des plages au Sud vers Kuta, Legian et Seminyak, le Bali spirituel et culturel dans le centre autour d'Ubud, le Bali de la plongée et des fonds sous-marins à l'Est du côté d'Amed ou des îles Gilli, et bien d'autres ...
Nous avions envie de découvrir ces différentes facettes de l'île ... en évitant simplement _ famille et quarantaine oblige _ les Aussies remplis de bière du soir au matin du côté de Kuta. Kuta, dont l'un des établissements phares de la nuit balinaise, le Sari Club, fut, souvenons-nous en, la cible d'un terrible attentat en 2002, coûtant la vie à plus de 200 personnes !
C'est dans cette optique que nous avons opté pour un séjour en 3 étapes dans des villas de rêve (merci airbnb !) pour profiter à plein de la quiétude balinaise : en démarrant par le centre de l'île à Ubud, puis direction Amed à l'Est et, enfin, cap au Sud-Ouest à Canggu.
Ce qui nous a certainement le plus marqué à Bali, c'est la ferveur avec laquelle y est pratiqué l'hindouisme, religion très majoritaire (plus de 80% des 4 millions de Balinais sont hindouistes) ... alors même que Bali est "isolé" au sein de l'Indonésie, plus grand pays musulman et 4ème pays le plus peuplé du Monde (260 millions d'habitants). Cette ferveur se traduit concrètement par le temps et l'argent qui sont investis par chaque famille dans la préparation des cérémonies ainsi que par les offrandes quotidiennes déposées dans les temples, le tout générant une économie à part entière.
Ubud (du vendredi 18 au mercredi 23 novembre) :
Après notre périple depuis Christchurch en passant par Singapour, nous avions besoin d'un peu de repos à notre arrivée à Bali : nous passons donc notre première journée sur place à profiter de notre belle villa (située à Laplapan, un petit village à la sortie Nord d'Ubud), de la piscine à débordement donnant sur les rizières et d'une bonne séance de massages à domicile pour toute la famille.
Une journée au paradis !
Tous les ingrédients du Bebek Goreng sous nos yeux !
Le lendemain matin, nous sommes d'attaque pour une grande journée d'excursion dans les montages du centre. A Bali, la conduite est un art qui demande pas mal d'apprentissage, nous optons donc pour le recours à chauffeur : nous partons donc vers le Nord à bord de la voiture du sympathique Kadek. Nous n'avons pas osé le scooter, pourtant c'est le "paradis" des 2-roues.
Sur la route, nous faisons quelques rencontres iconoclastes.
Le porte-à-porte à la balinaise
Nous démarrons la journée par une balade dans les magnifiques rizières en terrasses de Jatiluwih, inscrites sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco. Jatiluwih signifie "vraiment merveilleux" ou "beauté réelle" en balinais.
Une petite erreur d'aiguillage le long des rizières a bien failli nous coûter un embourbement, sous un soleil de plomb.
Une fois revenus sur le droit chemin, nous profitons des superbes nuances de vert qu'offrent les différents stades de croissace du riz et nous contemplons les ingénieux systèmes d'irrigation séculaires permettant de partager cette précieuse ressource qu'est l'eau.
Nous continuons notre remontée vers le Nord jusqu'à Candikuning, juste après Bedugul, et son grand jardin botanique, où, une fois passée la "traditionnelle" photo de groupe avec les locaux, les filles jouent les aventurières dans les arbres du Bali Treetop Adventure Park.
Nous terminons cette journée dans les montagnes par la visite du Pura Ulun Danu Bratan, un important sanctuaire hindo-bouddhique du XVIIème siècle, dédié à Dewi Danu, la déesse des Eaux. Il est bâti sur de petits ilôts entourés par le lac Danu Bratan dans l'eau duquel se reflètent les magnifiques meru (sanctuaires à plusieurs toits) hindous classiques.
Cours de danse traditionnelle dans le temple
Après le Nord, direction Sud le lendemain.
En passant par Ubud, reputée pour son artisanat local, nous profitons des échoppes colorées bordant la route.
Nous commençons la journée par un spectacle traditionnel de barong, spectacle mi-théâtre/mi-danse, qui raconte la lutte légendaire du bien (le dharma, représenté par le barong) contre le mal (l'adharma, représenté par le rangda), au son du gamelan.
Le Barong
De dos, la sorcière chevelue Rangda
Nous poursuivons par la visite d'un temple de village, le Pura Puseh Batuan, où nous faisons nos premières offrandes. Il faut savoir qu'il y a 3 principaux types de temples hindouistes à Bali : les temples de famille (intégrés dans chaque enclos familial, groupe de maisons d'une même famille), les temples de village et les temples publics ou temples directionnels, au nombre de 9 sur l'ensemble du territoire, localisés dans des sites naturels singuliers.
Sous la saine pression des filles, nous partons ensuite nous promener dans une serre à papillons qui nous permet de faire un rappel "grandeur nature" sur leur cycle de vie. Nous verrons un grand nombre de leurs congénères en liberté pendant notre séjour.
Le cacao, le thé et la café font partie des cultures locales : nous en dégustons une large gamme avant d'arrêter notre choix sur un excellent lemon tea. Nous goûterons même au luwak coffee, une spécialité locale fabriquée à partir de grains de café dont les baies ont préalablement été digérées par un petit mammifère local, le luwak : ça donne envie !
Le luwak en train de digérer des baies de caféier
Le climat tropical se rappellant à notre bon souvenir, il est grand temps de faire une pause baignade : les chutes d'eau du village de Tegenungan arrivent à point nommé !
Thalasso en plein air
Avant de regagner la villa, une halte au musée des masques, des poupées et des marionnettes s'impose : nous y découvrons l'importance de ces arts dans la culture locale, très utilisés dans les spectacles traditionnels.
Poupées de rois et de reines utilisées dans des pièces de théâtre
Barong tigre
Barong éléphant
Rangda
Après 2 jours intenses de visites, nous nous offrons un cours de cuisine balinaise en famille, qui commence par une visite du marché d'Ubud en début de matinée ...
Mieux vaut avoir l'estomac bien accroché !
Et se poursuit par la réalisation des 8 plats de notre déjeuner. Les filles s'en donnent à cœur joie, goûtent à tous les mets (parfois très épicés) et repartent avec leur livre de recettes : menu balinais à prévoir au retour à Bordeaux !
Le résultat est à la hauteur de l'investissement des cuisiniers en herbe : nous nous sommes régalés !
Fin de journée tranquille à la villa avec une nouvelle séance de massages, quelques leçons de maths, du nasi goreng (le plat national à base de riz frit aux légumes et au poulet) au dîner et un "bain de minuit".
Nous terminons notre séjour dans le centre de l'île par la découverte des environs d'Ubud, à commencer par le Pura Tirta Empul, l'un des temples les plus importants de Bali.
En chemin, Kadek nous fait l'honneur de nous faire visiter sa "maison" et de nous expliquer les positionnements des différentes bâtiments de l'enclos familial (environ 30 personnes) : le temple, la maison des anciens (laissée aux jeunes mariés pour leur nuit de noces), le hall des cérémonies, la salle à manger, ...
Arrivés à Tampaksiring, nous nous dirigeons vers le Pura Tirta Empul où jaillissent des sources sacrées, découvertes en 962 : on leur attribue des pouvoirs magiques. Nous saisissons l'occasion de purifier notre âme et d'ouvrir nos chakras !
Non loin de là, nous nous rendons à Gunung Kawi, imposant site ancien lové au fond d'une vallée luxuriante : des mémoriaux en forme de statues de 8 mètres de haut y ont été taillés à même la roche, en l'honneur, semble-t-il, d'une famille royale au XIème siècle. On se croirait dans Indiana Jones !
Vue depuis l'escalier de 270 marches qui descend à Gunung Kawi
Avant ...
Et après !
De retour vers Ubud, nous faisons un stop à Tegallalang, village célèbre pour ses rizières en terrasses, dans lesquelles nous nous perdons volontiers pour mieux profiter des vues verdoyantes et apaisantes.
Arrivés à Ubud, nous nous baladons dans le Sacred Monkey Forest Sanctuary (la Forêt Sacrée des Signes) où nous sommes accueillis par des centaines de macaques chapardeurs dont il faut se méfier. Pauline et Eugénie, pas très rassurées, leur donnent des bananes sous l'œil protecteur des gardiens du lieu.
On retrouve même des singes dans le centre-ville
Notre séjour à Ubud se termine déjà, il est temps de prendre la route vers Amed.
Nous démarrons cette journée de transit par la visite de l'école, jouxtant notre villa, à laquelle nous avons la chance d'avoir accès grâce à Kadek qui connaît le directeur venant du même village que lui. C'est une école primaire balinaise typique accueillant des enfants de 6 à 12 ans, ainsi que des plus petits à partir de 3 ans dans un jardin d'enfants.
Nous y passons un très bon moment et les échanges avec les enfants, bien que forcément limités, sont emplis de sourires.
Comme chez nous, match de football dans la cour à la récré
Photo-souvenir avec le directeur de l'école
En chemin pour Amed, nous passons à Semarapura, anciennement Klungkung, capitale de l'un des 9 anciens royaumes de Bali, dont le roi, refusant de capituler face aux colons néerlandais encerclant son palais en avril 1908, marcha vers la mort, avec des centaines de proches et de courtisans, armés de leurs kriss (poignards traditionnels) face aux canons ennemis. Ce puputan (combat suicidaire) est un évènement tristement célèbre de la période colonialiste.
Représentation du Puputan de 1908
La Haute Cour de Justice du Royaume de Klungkung
En sortant de Kertha Gosa, nous déambulons dans le marché de Semarapura, un labyrinthe d'étals plein de contrastes et de couleurs.
Une journée sans temple ? Hors de question ! Nous nous arrêtons un peu plus loin au Pura Goa Lawah, le temple de la "grotte aux chauve-souris", l'un des 9 temples directionnels de Bali niché, comme son nom l'indique, dans une grotte de 50 mètres de profondeur peuplée de millions de chauve-souris qui sortent chaque nuit et rentrent au petit matin. Elles serviraient de pitance au dieu Naga Busaki, un légendaire serpent géant supposé vivre dans la grotte. Plus prosaïquement, elles servent de nourriture à des centaines de pythons cachés dans la roche (nous en avons aperçu quelques-uns) qui sortent de leur trou chaque pour engloutir quelques bestioles et repartent les digérer au calme.
Belle représentation de Vishnu sur son aigle
Amed (du jeudi 24 au samedi 26 novembre) :
Nous voici arrivés dans le village d'Amed, réputé pour ses fonds sous-marins et, en particulier, pour la présence de l'épave du Liberty, un cargo américain torpillé en 1942 par les Japonais et échoué à Tulamben à quelques kilomètres au Nord d'Amed.
Nous y découvrons notre deuxième villa qui donne sur la mer de Bali et qui n'a rien à envier à celle d'Ubud.
Dès le lendemain de notre arrivée, dans notre quête du Nirvana, nous partons à l'assaut du Pura Lempuyang, un autre temple directionnel, perché en haut d'une colline sur le flanc du Gunung Lempuyang (1058 m).
En chemin, attirés par les décorations en palme à l'entrée du village de Tista, nous demandons à notre nouveau guide, Kadek (mais un autre Kadek), de faire un détour par le temple du village qui célèbre une grande cérémonie annuelle : nous sommes en admiration devant la beauté des décorations qui ont demandé pas moins de 6 mois de préparation à l'ensemble du village (ainsi qu'une donation d'un mois de salaire par famille).
La cérémonie dure au total près d'un mois et est ponctuée de plusieurs temps forts pendant lesquels tout le village se réunit et, en particulier, lors de sacrifices d'animaux qui sont enterrés vivants.
Le jour de notre visite, les hommes sont en train de creuser un grand trou dont nous apprenons qu'il est destiné à enterrer de grandes offrandes tissées en feuille de palme. Nous apprenons également que, juste sous nos pieds, ont été enterrés vivants, il y a quelques jours, 4 bœufs, 8 moutons et plus de 1000 poulets : les filles n'en croient pas leurs oreilles !
Les offrandes qui seront enterrées dans le trou qui est en train d'être creusé
Les anciennes du village ravies de voir des touristes s'intéresser à leurs traditions
Arrivés au pied des 1700 marches qui doivent nous mener jusqu'aux différents temples du Pura Lempuyang, nous nous rendons compte que cette montée s'apparente à un véritable "chemin de croix". Nous prenons alors notre courage à 2 mains pour effectuer l'ascension mais le jeu en vaut le chandelle : l'image des temples au milieu de la forêt et la vue sur la plaine resteront gravées dans nos mémoires !
Plus que 1368 marches à gravir ... en sarong (paréo local) !
Nous croisons des familles (nombreuses) en pèlerinage
Pour nous remettre de notre effort, rien de tel qu'un nasi campur (plat à base de riz et de poulet) dans un warung (gargote locale) d'Amlapura.
L'après-midi se passe plus tranquillement avec une visite d'un autre palais aquatique construit par le raja d'Amlapura : le Taman Ujung ...
Et un tour sur la côte Est de l'île qui abrite des villages de pêcheurs, ce qui nous permet de découvrir le bateau local, le jukung, une embarcation à voile aux couleurs éclatantes.
L'objectif de notre deuxième jour à Amed est de plonger sur l'épave du Liberty. Malheureusement, nous découvrons que les règles PADI (normes de plongée américaines) ne permettent pas aux enfants de moins de 10 ans de plonger ; or, tous les centres d'Amed sont certifiés PADI. Pauline est bien sûr très déçue car elle avait adoré son baptême à Bora Bora.
"Un pour tous et tous pour un", nous décidons donc de transformer notre plongée en snorkeling familial.
Après une petite séance de kayak matinal en face de la villa, nous partons pour Tulamben où nous faisons une belle séance de snorkeling au-dessus de l'épave au milieu de nuées de poissons colorés.
Pour notre dernier jour sur Amed, nous décidons de tenter une nouvelle expérience de pêche, cette fois-ci à bord d'un jukung.
Clémence, Pauline et Pierre-Yves partent en mer avec un pêcheur local et déposent Isabelle et Eugénie dans la baie de Jemeluk pour qu'elles puissent snorkeler au milieu d'un temple sous-marin.
Les plongeuses profitent d'un beau spectacle sous l'eau ...
Tandis que les pêcheurs s'en donnent à cœur joie à la surface.
Aussitôt pêchés, aussitôt dégustés : les filles se régaleront de leurs prises avant de prendre la route pour Canggu.
Eugénie se pare de ses plus beaux atours pour le voyage ...
Tout comme les balinaises, élégamment habillées pour un mariage, que nous croisons en chemin.
La route vers Canggu nous offre également de splendides panoramas.
Canggu (du dimanche 27 au mardi 29 novembre) :
Notre troisième et dernière villa ne dénote pas par rapport aux 2 premières.
Promenade à cheval de bon matin
Et Clémence, dans l'espoir de ramener un oiseau balinais, y trouve même de quoi fabriquer une palombière ... mais sans succès !
A l'affût
Habile réutilisation du chapeau du jardinier
Nous ne pouvions pas quitter Bali sans affronter les célèbres vagues du Sud de l'île, nous partons donc pour la plage de Batu Belig où les filles font leurs premières armes de bodyboard.
De là, nous remontons vers le Nord en direction d'Echo Beach sur 4 km en longeant la plage. Nous croisons des surfeurs, des locaux profitant de leur dimanche en famille et des temples posés sur les rochers : paisible balade dominicale !
Arrivés sur le spot d'Echo Beach, pas le temps de boire notre première gorgée de bière qu'une pluie diluvienne s'abat sur la plage. Ni une ni deux, on fonce dans l'eau pour un remake de la pub Tahiti Douche (le savon en moins) !
Les surfeurs, eux, continuent de prendre les vagues !
Une fois que le ciel s'est calmé, nous dînons en bord de mer (notre chauffeur du jour, Putu, se joint à nous) et profitons des splendides couleurs du coucher du soleil.
Le lendemain, nous nous attaquons au Sud de l'île et à la péninsule de Bukit Badung : pour cette grosse journée de visite, il nous fallait un chauffeur de choc, nous rappelons donc Kadek d'Ubud qui est ravi de nous accompagner un jour de plus et avec qui on continue d'échanger sur pas mal de sujets : politique, religion, éducation ... et football bien sûr. On a ainsi pu suivre la Coupe d'Asie du Sud-Est et il nous apprend que l'Indonésie vient de se qualifier pour les demi-finales !
La journée commence par la visite du marché aux poissons de Jimbaran, réputé pour être l'un des plus beaux de Bali. Nous en prendrons plein les yeux !
Le poisson passe directement du jukung à l'étal du marché en face de la plage
Plus au Sud, nous nous rafraîchissons par une baignade à Balangan Beach ...
Avant de découvrir l'impressionnant temple d'Uluwatu (encore un temple directionnel) niché en haut d'une falaise et "défendu" par des macaques, dont l'un s'attaquera à la tong de Clémence qu'il devait trouver à son goût.
On aperçoit un meru en haut de la falaise
Le coupable à quelques secondes d'essayer de commettre son larcin
Pour nous remettre de nos émotions, une nouvelle pause baignade s'impose sur la très jolie plage de Padang Padang, à laquelle on accède en se faufilant entre les rochers.
Sur le chemin du retour, nous nous arrêtons de nouveau à Jimbaran pour un dîner de fruits de mer les pieds dans l'eau : magique !
Dîner les pieds dans l'eau au sens propre du terme
C'est déjà notre dernier jour à Bali : pour boucler la boucle, nous partons à la découverte de nos derniers temples.
A commencer par le magnifique temple de bord de mer de Thana Lot. On comprend pourquoi c'est le temple le plus photographié de l'île (mais les vagues de touristes chinois déversés par des norias de bus nous gâchent un peu la visite) ...
On s'en échappe donc rapidement pour profiter notre dernier temple balinais, le Pura Taman Ayun, temple paisible décoré de superbes meru.
Nous aurions bien aimé ramener une belle statue comme souvenir de Bali mais nous flirtons déjà avec les limites de poids des bagages à chaque vol.
Nous sommes donc restés raisonnables et avons fait nos emplettes chez Bali Button, la caverne d'Ali Baba du bouton. De beaux colliers en perspective pour les grands-mères !
La dernière soirée balinaise est l'occasion de faire le bilan sur les trésors que nous avons trouvés sur les plages locales. Et la cuvée balinaise n'est pas mal du tout !
Vol Bali-Hong Kong (30 novembre) :
Nous avons le plaisir de refaire un stop à Singapour (où nous dégustons nos premiers dim sun) sur la route de Hong Kong.
Et les filles trouvent des occupations dans les duty free des aéroports (mais sans chiffre d'affaires à la clé pour Lagardère, désolé Fred !)
Les starlettes à l'essayage
Nous n'avions pas d'idée précise de ce que nous allions découvrir en venant à Bali, nous avons découvert une île aux couleurs magnifiques (celles de la nature et celles des temples), empreinte de spiritualité et de culture ancestrale, riche d'un peuple accueillant et heureux de vivre.
Bali aura été une belle parenthèse enchantée !
De la quiétude balinaise à l'hyperactivité hongkongaise, il n'y a qu'un pas !
A nous Hong Kong !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire